Naples

Naples, la tumultueuse. 

A tort ou à raison, nous préférons amarrer le bateau dans une marina. Et ce, malgré les prix exorbitants des ports italiens. Nous laissons donc Sabali à la Marina de Bahia, à l’entrée de la baie de Naples. L’accueil est chaleureux. 

Nous partons aussitôt dans la vieille ville en train en longeant la baie. La visibilité est mauvaise, la mer poisse. Arrivés à la gare Montessanto, Naples est là. On dirait Marseille en plus grand et plus bruyant ! Nous descendons le quartier espagnol au milieu des poissonneries, des trattorias, des portraits de Diego Armando Maradona et d’une foule bruyante. Les rues sont bleues et blanches depuis la récente victoire du SSC Napoli. Nous rentrons dans la soirée en train. Les garçons sont invités par les deux conducteurs. Ils klaxonnent lors des arrivées en gare et ouvrent les portes des voyageurs. 

Le lendemain, nous partons pour visiter Pompéi avant de monter au Vésuve. Un C’est pas sorcier préalable permet aux garçons (et aux parents) de comprendre en partie la vie qui se déroulée ici jusqu’en 79. Les rues, les maisons, les fresques et mosaïques ont effectivement été très bien conservées par les tonnes de cendres et de lave.

Nous montons sur le fautif qui ne dort que d’un œil. Il fait chaud, c’est poussiéreux comme un volcan ! Au pied du Vésuve, Naples s’étend à perte de vue. Il est temps de rentrer sur Sabali. L’escale aura été un peu rapide mais la météo est capricieuse ! Cap au Sud sur les Eoliennes.

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